Les chevaux ne sont pas munis de la parole mais nous font passer de nombreux messages par leur différents comportements et signaux corporels.

Un des fondamentaux lorsque l’on est au contact des chevaux c’est d’observer leurs oreilles. En effet, en se fiant aux oreilles du cheval, on peut comprendre de nombreuses choses. Par exemple, un cheval qui est attentif va avoir les oreilles pointées devant lui. En revanche si quelque chose ne lui plaît pas, il va plutôt coucher les oreilles en arrière.

La tonicité de la posture peut en également en dire long sur l’état émotionnel du cheval à l’instant T. Par exemple, un cheval avec un port de tête très haut, les oreilles pointées devant lui et la queue légèrement levée exprime un sentiment d’alerte.

Le cheval communique énormément par le son et il peut le faire de différentes façons :

Le hennissement : il s’agit du son que tout le monde connaît qui peut être entendu sur de longues distances (jusqu’à 1km). On peut traduire ce dernier de plusieurs façons : le cheval veut signaler sa présence ou appeler d’autres congénères, mais il peut également l’utiliser s’il perd de vue ses compagnons. Un hennissement long et fort peut signifier une situation de stress.

Le couinement : On assiste à ce genre de son lorsque les chevaux se rencontrent, notamment après avoir mis leurs naseaux en contact. Le couinement est très utilisé par les étalons.

L’appel de contact : Légèrement différent du hennissement, il s’agit d’un son pour accueillir une personne. On peut aussi l’entendre lorsqu’une jument est au contact de son poulain ou lorsqu’un étalon appelle une jument.

Le gémissement : Ce bruit est souvent audible en cas d’effort, lorsque le cheval se couche ou se roule par exemple.

Le souffle : Quand un cheval souffle de façon brève et intense, c’est qu’il découvre une nouvelle odeur ou parfois qu’il se sent en danger.

L’ébrouement : Il s’agit d’une expiration par les naseaux au son très caractéristique souvent signe d’impatience.

Le ronflement : De la même manière que le cheval peut souffler quand il se sent en danger, il peut aussi inspirer de manière intense, ce qui provoque un ronflement. Ce dernier est souvent utilisé par les chevaux pour signaler un danger.

En résumé, pour comprendre un cheval, il faut être capable d’analyser dans tout son ensemble :  l’attitude, la posture, ses habitudes et mimiques, mais aussi les sons qu’il émet afin d’être capable de traduire au mieux tous ces signaux par la suite.

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Claire

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